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🟡 Les “réticents et inquiets”
21% des répondants
Pour eux, l’IA est une source d’inquiétude plus que d’opportunité
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🟠 Les “pragmatiques et opportunistes”
41% des répondants
Pour eux, l’IA est un outil utile pour gagner en efficacité
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🟢 Les “convaincus et critiques ”
38% des répondants
Pour eux, l’IA est un levier pédagogique puissant à utiliser avec vigilance
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80% des lycéens utiliseraient l’IA chaque semaine dans le cadre scolaire selon 1 enseignant sur 2 → usages autonomes
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Moins de 4 enseignants du secondaire sur 10 déclarent avoir déjà enseigné ou abordé l’IA avec leurs élèves.
→ usages encadrés
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Les enseignants du secondaire se sentent en difficulté lorsque leurs élèves :
¹ pourcentage des enseignants
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Près de 7 enseignants sur 10 ont déjà expérimenté l’IA dans leur pratique professionnelle, et environ 1 sur 5 l’utilise de manière active.
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40 % des enseignants utilisateurs de l’IA dans leur travail déclarent utiliser des outils d’IA générative au moins une fois par semaine.
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Ces outils sont majoritairement mobilisés dans une logique d’efficacité notamment pour gagner du temps sur la préparation pédagogique . À l’inverse, les usages à fort potentiel pédagogique, comme l’apprentissage adaptatif, demeurent très marginaux.
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Selon 78% des enseignants, la formation à une utilisation pédagogique et critique de l’IA devrait être une priorité des politiques publiques.
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Les enseignants demandent des formations notamment techniques pour mieux comprendre les outils, savoir les utiliser de façon autonome, maîtriser les usages de base pour ne pas subir une technologie qu’ils doivent encadrer et prendre part aux transformations en cours.
Invités à se projeter dans une école profondément transformée par l’IA, ils réaffirment leur rôle essentiel dans la relation éducative, orienté vers le développement de compétences que la machine ne peut remplacer : esprit critique, compétences psycho-sociales, créativité et curiosité.