<aside> <img src="/icons/info-alternate_purple.svg" alt="/icons/info-alternate_purple.svg" width="40px" />
Les résultats suivants portent sur un sous-échantillon apparié de 499 enseignants. Afin de garantir la validité des comparaisons entre les enseignants de 2023 et ceux de 2025, le sous-échantillon a été sélectionné à partir d’un appareillement sur l’ancienneté, le niveau scolaire, l’environnement proche (rural vs urbain) et la zone d’enseignement (REP ou non).
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Malgré une légère hausse depuis 2023, la démocratisation de ces pratiques reste marginale. En effet, moins de 15% des enseignants déclarent les mettre en place souvent ou assez souvent.
***** différence significative à p < .05
***** différence significative à p < .05
On constate une baisse de respectivement 6% et 5% depuis 2023 pour la mise en place d’écogestes et de programmes d’actions au niveau de l’école.
La baisse observée des programmes d’action dans les établissements semble liée au fait que nombre d’entre eux étaient associés à la labellisation E3D, sur laquelle on observerait un effet plafond. Les établissements intéressés par cette labellisation ont, pour la plupart, achevé le processus au cours des dernières années, tandis que les autres demeurent peu enclins à s’y engager.
Malgré quelques écarts, on n’observe pas d’évolution significative du reste des pratiques entre 2023 et 2025*****. La plupart de ces pratiques restent marginales, avec moins de 20% des enseignants organisant des débats, des expériences en sciences, des sorties ou des visionnages de médias en rapport avec l’éducation au développement durable.
***** ces évolutions ne sont pas significatives au seuil p < .05